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Le visible et l'invisible du karaté
Cher Pascal, est-ce que le visible est ce qui Rest ou ce qui en reste après nombre de kumite, kihon ou de katas...?? Vous commettez un livre à connotation ethnographique, comparant l'esprit du samouraï à celui du chevalier... en vous servant de stances du DeDaoJing, je n'ai rien contre, tout au contraire aimant particulièrement ce texte. Vous focalisez sur le rituel qui n'est en fait qu'imitation, et celle-ci n'est pas forément garante d'efficacité, vous en convenez honnêtement d'ailleurs. Votre passage sur le Ki et les katas sont une bonne explication de ce côté invisible du karaté pour dépasser la haine, la peur et la violence dans un combat, combat véritablement contre soi-même en définitive comme l'affirme haut et fort le Bushido. Votre parallèle entre dôjôs et autels dogons est intéressant à deux consonnes près, le g et le n (je n'ai pas dit gnan gnan !!). Ce qui m'a amusé, c'est qu'un de mes élèves fut aussi celui de Kenji Tokitsu dont vous parlez beaucoup, il n'y a pas de hasard, n'est-il pas ?? Enfin, je n'ai pas trouvé de référence dans votre bibliographie à J-L. Jazzarin qui reste un des grands penseurs de l'invisible dans les arts martiaux. Votre essai m'a intéressé, ayant étudié l'ethnographie à l'Uni de Genève et connu cet art martial avec Me Tam Trinh (6è dan) et ...